ou Inclusion Body Disease (IBD)


Le rétrovirus associé avec la maladie virale a corps inclus a d’abord été associé avec les problèmes neurologiques causant les tremblements de la tête et la perte de réflexes chez les pythons, particulièrement les pythons birmans (python molurus bivittatus) a la fin des années 1970. La MVCI, plus connue sous le nom angliciste IBD, reste commune chez les pythons captifs tout le long des années 1980 et se répand chez les boas constrictors dans les années 1990.

Les changements cliniques associés avec l’IBD varient selon les espèces et les individus. Cependant, la maladie peut toucher tous les serpents, particulièrement les boïdés, avec des pertes chroniques (régurgitations, diarrhée) ainsi que des stomatites, dermatite (ulcéreuse ou autres), des membranes muqueuses pales, des problèmes respiratoires (particulièrement des pneumonies), néoplasies cutanées et leucémie. Ces changements peuvent être reconnus avec ou sans symptômes de problèmes neurologiques apparents. Des infections protozoaires et des bactéries secondaires sont communes. La plupart des serpents juvéniles un développement flagrant de l’infection, avec un taux de mortalité de quasi 100%. Les adultes tendent a avoir un développement plus étendu et fané de maladie.

Certains cliniciens considèrent les infections récurrentes comme le changement clinique le plus commun chez les plus faibles. Les autres serpents peuvent démontrer graduellement des signes de problèmes neurologiques commençant par l’inhabilité d’attraper et de constricter une proie, suivi par une dysecdysis, apparemment secondaire a une incoordination et a une inhabilité a contrôler les mouvements du corps nécessaires pour provoquer une mue. Des tremblements de la tete saccadés, une langue tombante, et une terne mise en œuvre ont été décrit comme les premiers symptômes, suivi ensuite par l’anorexie, la léthargie, une perte de poids, et une déshydratation au fur et à mesure que la maladie se développe. Les signes de troubles neurologiques se transforme par la suite par des réflexes lents, de l’hyperréflexie, des tremblements saccadé de la tete, des roulements, de la désorientation, la perte de vue (pupilles dilatées), et le ‘’stargazing’’ qui, dépendamment des espèces, peuvent rapidement amener a la mort ou persister pendant 4 a 5 ans. Des maladies lymphoprolifératives et les stomatites bactériennes secondaires, des pneumonies, et des dermatites peuvent apparaitre dans les boas et pythons gravement atteints.

La progression de la maladie semble plus rapide chez les pythons que les boas. La régurgitation est fréquemment le premier signe pour les boas, suivie par les signes de troubles neurologiques qui s’étendront sur 1 ou 2 ans. D’autres boas vont régurgiter une proie partiellement digérée et mourra dans les semaines suivantes. Certains cliniciens affirment que les jeunes boas ont plus tendances a régurgiter, et une apparition aigue de paralysie molle, et les boas matures vont plus souvent développer des infections chroniques, particulièrement la pneumonie. D’autres auteurs considère que les signes de troubles neurologiques est tardif chez les boas, avec la régurgitation chronique, la pneumonie, et la cachexie serait les étapes premières de la progression de la maladie.

Les pythons ont plutôt une apparition aigue de graves problèmes neurologiques, qui seraient plus importants que chez les boas. Le symptôme principal chez le python serait la pneumonie et la stomatite qui progressera rapidement à des problèmes neurologiques mortels. L’IBD est dans les premiers sur la liste dans les maladies respiratoires chez les pythons matures.

Même si l’IBD est souvent une maladie réservée au boïdés, elle apparait aussi chez les autres espèces. Il a été observé sur des vipères de palmiers (Bothriechis marchi) et a affecter les sauvage comme les nés en captivité. Il a aussi pu être reconnu sur un eastern kingsnake (Lampropeltis gutulus) qui résidait avec un boa infecté.

Voici un video d'un serpent atteint de la maladie :